En passant :  Journal d'un quidam : Je suis né un jour bébé pour finir un jour cadavre. Entre les deux : rien.  Soulignac
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Fornax éditeur

est un éditeur artisan établi en Champagne (dans le petit village de Bannes)
qui a aussi eu pendant 26 ans un atelier en Île de France (dans le petit village de Paris),
mais ne l'a plus.

 
L'atelier de Bannes
L'atelier de Bannes

L'atelier de Bannes.

 

 Fornax n'édite que de la littérature – illustrée ou non d'estampes – suivant les goûts et humeurs de Christian Laucou qui préside à ses destinées. Ceux-ci le portent (sans exclusive) vers la littérature contemporaine et celle qu'il appelle « de l'entre deux guerres » (comprendre entre 1870 et 1914).

 Christian Laucou, typographe traditionnel au plomb et imprimeur, conçoit tous les livres de Fornax et en imprime la quasi totalité. Il est aussi imprimeur à façon en typographie et pédagogue. On trouvera toutes les informations au sujet de ces deux activités sur son site professionnel : cls-typo.

 Plumitif discret, il lui arrive aussi de commettre de la littérature ; il prend alors le nom de Christian Soulignac ou signe CLS afin de séparer l'activité littéraire de l'activité éditoriale. Il tient plus ou moins régulièrement un blog orienté typographie, principalement la « typo des rues ». On en trouve les derniers billets ci-dessous.

Les 2 derniers billets
Typo sculptée  -  par cls

Drôle d’R

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Une belle typographie sculptée à l’R bizarre, comme une queue de cheval.

Drôle d’R

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Une belle typographie sculptée à l’R bizarre, comme une queue de cheval.

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Publié le 25/10/2025 @ 17:32  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Prévisualiser...   Imprimer...   Haut
Art de rue  -  par cls

Recouvrement

La publicité, cette maladie vénérienne de la société de consommation mondiale, envahit tout, tous les supports, tous les lieux. On la retrouve dans les revues, dans les livres, dans les jeux vidéos, dans les films, au cinéma, à la télévision, sur internet, dans des panneaux sur les murs, partout. Elle pollue, elle dégrade tout avec ses slogans-microbes ou ses slogans-virus, la littérature, la musique, les arts plastiques. Elle s’impose, même aux esprits les plus rebelles à grands coups de répétitions visuelles et de répétitions sonores, en attendant qu’elle trouve un moyen de nous imposer des répétitions olfactives (il y eut des tentatives dans les revues au cours des années 1970), des répétitions tactiles ou gustatives, afin de nous cerner, de nous enfermer totalement, dans son univers carcéral, afin que nul remède à son infection ne puisse plus nous être accessible.

Elle a un avantage, elle est légale. Elle est légale puisqu’elle paye, et qu’avec son argent ainsi dépensé, elle va en gagner beaucoup plus en asservissant les cerveaux contaminés par la répétition. Elle fait ainsi marcher l’économie pour le plus grand bien de ceux qui en profitent.

Peu nombreux sont les cerveaux qui résistent à cette infection qui se comporte comme une drogue. Parmi eux, certains cerveaux d’artistes. Des artistes qui, en toute illégalité, décident de recouvrir les affiches publicitaires par des œuvres d’art. En toute illégalité, parce qu’ils ne payent pas pour faire cela, parce qu’ils ne demandent pas non plus à être payés pour montrer ce qu’ils font. En toute illégalité, parce qu’ils offrent du gratuit et du beau, du moins de leur beau à eux. En toute illégalité parce qu’ils ne font pas marcher l’économie. Peut-être est-ce là ce qui les rend dangereux car, sans l’avoir cherché, ils propose un remède qui pourrait nous guerir de la pandémie publicitaire. Peut-être.

Mais ces tentatives sont rares. Et elle ne sont pas visibles longtemps. En voici trois.

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La publicité reprend vite ses droits. L’asservissement est une priorité internationale.

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Recouvrement

La publicité, cette maladie vénérienne de la société de consommation mondiale, envahit tout, tous les supports, tous les lieux. On la retrouve dans les revues, dans les livres, dans les jeux vidéos, dans les films, au cinéma, à la télévision, sur internet, dans des panneaux sur les murs, partout. Elle pollue, elle dégrade tout avec ses slogans-microbes ou ses slogans-virus, la littérature, la musique, les arts plastiques. Elle s’impose, même aux esprits les plus rebelles à grands coups de répétitions visuelles et de répétitions sonores, en attendant qu’elle trouve un moyen de nous imposer des répétitions olfactives (il y eut des tentatives dans les revues au cours des années 1970), des répétitions tactiles ou gustatives, afin de nous cerner, de nous enfermer totalement, dans son univers carcéral, afin que nul remède à son infection ne puisse plus nous être accessible.

Elle a un avantage, elle est légale. Elle est légale puisqu’elle paye, et qu’avec son argent ainsi dépensé, elle va en gagner beaucoup plus en asservissant les cerveaux contaminés par la répétition. Elle fait ainsi marcher l’économie pour le plus grand bien de ceux qui en profitent.

Peu nombreux sont les cerveaux qui résistent à cette infection qui se comporte comme une drogue. Parmi eux, certains cerveaux d’artistes. Des artistes qui, en toute illégalité, décident de recouvrir les affiches publicitaires par des œuvres d’art. En toute illégalité, parce qu’ils ne payent pas pour faire cela, parce qu’ils ne demandent pas non plus à être payés pour montrer ce qu’ils font. En toute illégalité, parce qu’ils offrent du gratuit et du beau, du moins de leur beau à eux. En toute illégalité parce qu’ils ne font pas marcher l’économie. Peut-être est-ce là ce qui les rend dangereux car, sans l’avoir cherché, ils propose un remède qui pourrait nous guerir de la pandémie publicitaire. Peut-être.

Mais ces tentatives sont rares. Et elle ne sont pas visibles longtemps. En voici trois.

Art-PanneauPub1.jpg

Art-PanneauPub2.jpg

Art-PanneauPub3.jpg

La publicité reprend vite ses droits. L’asservissement est une priorité internationale.

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Publié le 24/10/2025 @ 13:46  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Prévisualiser...   Imprimer...   Haut
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Thomas Braun
La Bénédiction
des fromages

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8 pages,
format 11,2 x 9 cm.
tirage à 131 exemplaires en typographie.
30 €

 __________

CLS
A pas feutrés

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Un volumen,
79 cm de long, 17,5 cm de haut.
tirage à 10 exemplaires en linogravure.
250 €

 __________

Marie-Rose de France
Dits

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26 petits textes en proses poétique. Vignettes de CLS.
tirage à 120 exemplaires en typographie au plomb.
60 €

 __________

Pierre Pinelli
Molitor

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24 pages,
format 15 x 20 cm.
tirage à 100 exemplaires en typographie au plomb.
60 €

Le livre commenté

Marie-Rose de France
Dits

frnx-283-mini.jpg

36 p., format 10 x 14 cm.
composé et imprimé en
typographie au plomb
Tirage à 120 exemplaires.
60 €

(cliquer sur l'image
pour en savoir plus)

Les livres commentés
Gratuit


Quelques pages de ce site à visiter pour se divertir ou se « cultiver » :

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