Sentence to think about :   J'ai une telle aversion pour les enterrements que je ne sais pas si je me rendrai au mien.   Soulignac
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Thomas Braun
La Bénédiction
des fromages

frnx-287-mini.jpg

8 pages,
format 11,2 x 9 cm.
tirage à 131 exemplaires en typographie.
30 €

 __________

CLS
A pas feutrés

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Un volumen,
79 cm de long, 17,5 cm de haut.
tirage à 10 exemplaires en linogravure.
250 €

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Marie-Rose de France
Dits

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26 petits textes en proses poétique. Vignettes de CLS.
tirage à 120 exemplaires en typographie au plomb.
60 €

 __________

Pierre Pinelli
Molitor

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24 pages,
format 15 x 20 cm.
tirage à 100 exemplaires en typographie au plomb.
60 €

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—♦—

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CLS-bois

The gloss book

Marie-Rose de France
Dits

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36 p., format 10 x 14 cm.
composé et imprimé en
typographie au plomb
Tirage à 120 exemplaires.
60 €

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Umbrellas  -  by cls

Proverbe

Parapluies.jpg

Ça faisait longtemps qu'on ne vous avait pas asséné un de nos proverbes massifs :

Parapluie qui s’envole
de l’eau sur la casserole...
Parapluie qui s’enfuit,
tranquille jusqu’à la nuit.

Published on 31/05/2025 @ 11:07  - none comment - none comment - View ? Add yours ?   Preview   Print...   Top
Several wordsmiths [2]  -  by cls

La Croix sans la bannière...

À la fin de notre billet d’hier au sujet du roman X nous évoquions vaguement, du bout de la cervelle, l’idée de le compléter d’informations au sujet d’éventuelles pratiques du même acabit, antérieures ou postérieures. Bien sûr nous avions une idée derrière la tête... heu, au fait, pourquoi derrière  ? Derrière ma tête, il n’y a que de l’air (sauf quand je m’adosse à un mur), et aucune idée normalement constituée ne peut vivre toute seule, comme ça, dans l’air (ou dans un mur). Elle va mourir de faim. Il lui faut de la cervelle et des synapses pour se nourrir... Reprenons. Nous avions une idée dans la tête en avançant ces propos. Celle de concrétiser la chose dans un avenir incertain et flou, mais pas trop lointain tout de même, pour ne pas en perdre le fil (de l’idée). Et puis la nuit, plutôt courte sur pattes, a frappé à ma porte pour me refiler des conseils. Autant m’en débarrasser tout-de-suite, comme ça ce sera fait, et nanani, et nananère. Bon, d’accord. On s’y colle.

Effectivement, il y eut un précédent quelques décennies plus tôt. Quatre amis écrivains eurent l’idée... Non. Quatre amis écrivains, dont une écrivine, eurent l’idée de mêler leurs plumes pour concocter un roman. Épistolaire, le roman. Pour les ceusses qui ne connaîtraient pas le mot, épistolaire ne veut pas dire plein de pistolets qui tirent dans tous les coins, (on n’est pas dans une série américaine, mais dans un feuilleton, on va voir ça plus bas) mais conçu comme si c’était un échange de lettres. Les lettres, vous savez, les trucs que, dans le temps, on écrivait à la main sur un bout de papier qu’on pliait en quatre pour le mettre dans une enveloppe, avec une adresse et un timbre dessus, et qu’on jetait dans une boîte avec une fente, dans l’espoir qu’elle se débrouille toute seule pour courir avec ses petites pattes jusqu’à l’adresse mentionnée sur l’enveloppe. Enfin, vous voyez, l’ancêtre des courriels et des réseaux sociaux. Sauf que, contrairement aux réseaux sociaux, la lettre ne s’adresse qu’à une seule personne. Pas rentable, hein ? Donc, quatre amis écrivains dont une écrivine et un roman épistolaire. Notons au passage que ce roman n’est pas le premier ouvrage épistolaire. Il y en eut d’autres auparavant, mais mono-écrivains. Par exemple Les Liaisons dangereuses, de Choderlos de Laclos, ou Les Lettres persanes, de Montesquieu, ou La Nouvelle Héloïse, de Jean-Jacques Rousseau. Bon, on va s’arrêter là, on ne va pas passer tout notre temps à énumérer les œuvres épistolaires qui nous passent par la tête.

Une écrivine et trois écrivains pour un roman épistolaire. Ça fait penser, si on a lu le billet précédent, à l’écrivine et aux trois écrivains qui ont raconté l’histoire, en quatre volumes non épistolaires, de Bob et Bobette. On va s’arrêter là avec la comparaison, d’abord parce qu’on a d’autres choses à dire, et aussi parce qu’après, le résultat littéraire est différent. Le principe est simple : chaque écri(vine, vain) incarne un personnage du début à la fin de l’ouvrage. Donc quatre personnages, une femme et trois hommes. Bien sûr, va y avoir du sentiment, le Romantisme n’est pas mort, nous sommes au milieu du 19e siècle. Allez, on les nomme. Irène de Chateaudun incarnée par Delphine de Girardin, Edgar de Meilhan incarné par Théophile Gautier, Raymond de Villiers incarné par Jules Sandeau et Roger de Monbert incarné par Joseph Méry. Le roman s’intitule (j’ai tenu jusqu’ici sans le nommer ! hi hi !) : La Croix de Berny et porte comme sous titre : roman steeple-chase.

Vous le savez sûrement mais c’est grâce à Jules Sandeau, avec qui elle écrivit un roman (Rose et Blanche, ou la comédienne et la religieuse) qu’Aurore Dupin est devenue George Sand en littérature. Une écrivine de grand talent, et pas que, une de ces femmes merveilleuses et actives tous azimuts qui a inventé le multitâche bien avant les ordurateurs. Je ne pouvais pas ne pas la citer, bien qu’elle ne fasse pas partie de l’histoire, parce que la George est l’écrivine préférée de ma pouse, et que je l’aime bien aussi même si, pour rigoler, je préfère le George Auriol d’hier.

LaCroixDeBerny.jpg

Mais j’en entends déjà qui demandent, en grognassant, « Pourquoi steeple-chase ? » On va vous le dire. La Croix-de-Berny est un carrefour de routes anciennes situé de nos jours sur la commune d’Antony mais qui, au milieu du 19e siècle était la pleine campagne, dans les environs duquel se déroulaient des parcours d’obstacles à cheval nommés steeple-chases parce que ce n’est pas d’hier que les anglicismes ont la cote dans notre beau pays de France. Les steeple-chases de la Croix-de-Berny, probablement jugés trop dangereux, ont été supprimés aux alentours de 1842.

C’est trois ans plus tard, alors que cette pratique hippique et colégram était encore dans toutes les mémoires que La Croix de Berny, roman steeple-chase, parut dans le quotidien La Presse du 9 juillet au 10 août 1845, au rez-de-chaussée de la première page, dans la rubrique « Feuilleton de La Presse ».

Le feuilleton n’attendit pas autant de temps que X pour être publié en volume chez un éditeur parisien, dix ans tout de même (1855), la Librairie nouvelle. Un éditeur qui, au milieu d’écrivains maintenant bien oubliés comme Amédée Achard, Louis Bouihet ou Arsène Houssaye, avait à son catalogue, outre nos quatre de La Croix de Berny, Stendhal, Barbey d’Aurevilly, Lamartine et Louise Colet, écrivine et poétesse bien connue des flaubertiens et de quelques autres.

Bon, on s’arrête là pour aujourd’hui ? Oui, n’est-ce pas...

Published on 30/05/2025 @ 17:22  - none comment - none comment - View ? Add yours ?   Preview   Print...   Top
X...  -  by cls

Cinq plumes pour un canard...

Pour changer des enseignes, des fôtes de typo et des gaffes d’ortho dans les rues, on va parler d’un bouquin. D’un ouvrage qui ne fait pas partie du catalogue Fornax. Publié au siècle dernier. Pourquoi pas ? Sur le site d’un type qui fait des petits bouquins, et parfois des gros, ce n’est pas incongru, ce n’est pas non plus une hérésie.

Pourtant, ça lui fait drôle au type Moi-même de parler de ce livre, parce que j’ai l’impression d’en avoir déjà parlé ici. Persuadé que mon souvenir était d’une justesse rigoureuse, j’ai même vérifié avec le merveilleux petit outil de recherche dans le contenu du site, et que dalle ! Comme quoi, les souvenirs, hein, c’est peau-de-balle, ou plutôt, c’est ballon de baudruche. Il est bien bon gros, bien bon coloré, bien bon réel, mais suffit d’une aiguille pointue et pointée dans la bonne direction et, bang ! ça éclate, ça fait pleurer les enfants, et il n’en reste rien, du souvenir-baudruche. Pourtant j’aurais bien cru... mais c’est cuit, il a éclaté.

Ce volume énigmatique dont je ne vous ai pas encore parlé (passe que j’aime bien garder du suspensse) est en relation indirecte avec quatre autres dont je vous ai parlé voici lulure, ici (pour les bigleux, les distraits et les toujours-pressés-d’en-finir, je signale que dans les flancs fragiles de l’ici précédent se cache un lien qui se dénoue vers la page des quatre autres non encore mentionnés). Il s’agit des quatre romans qui narrent les aventures de Bob et Bobette, deux personnages qui sautent allégrement d’auteur en auteur au fil de leurs aventures, de Jeanne Landre à Francis Carco, puis à Pierre Mac-Orlan et enfin à André Salmon.

Sans être tout-à-fait le même, le principe est semblable dans l’ouvrage que je vais bien finir par nommer un jour. Et peut-être même maintenant : il s’agit de X. Oui, X tout court.

— Qu’est-ce que tu nous racontes-là, Toto !
— Eh ! Ho ! Je ne vous permets pas, primo : de me tutoyer, et secondo : de m’appeler Toto... Et puis, d’abord, qui êtes-vous ? Quand on est poli, on se présente.
— Bah, tiens, sur ses ergots, le Toto... Qui je suis, moi ?... Le lecteur type, pardi ! Et si tu le prends sur ce ton, je pourrais bien devenir le lecteur qui se barre. Ce que je disais, c’est que X, ce n’est pas un titre, ou alors c’est le titre d’un bouquin qui n’a pas de titre, comme M. X ou Mme X est le nom qu’on donne à celui ou à celle dont on ne connait pas le nom. Tu piges, Tot... tu piges, M. mon interlocuteur ?
— Oui. Je pige, comme tu dis... et je finis par te tutoyer parce que je me rends compte qu’il n’y a pas le moyen de faire autrement avec toi. Pourtant, le vouvoiement est une marque de respect de ma part envers le lecteur, fut-il type, ou sale type... Passons... Donc le roman, puisqu’il s’agit d’un roman, et même d’un roman impromptu, c’est marqué sur la couverture et sur la page de titre, se nomme X parce que son personnage principal s’appelle X. Content, le type ?
— Ouais. J’ai compris. Je me tais. J’ai surtout compris qu’il faut que je me taise.

Donc je continue, pour « Type » et pour les autres lecteurs. Ce roman, X, a une particularité : il est pentacéphale. Autrement dit, il est né sous la plume de cinq écrivains. Cinq papas, pas de maman, c’est presque de la génération spontanée. Cinq écrivains humoristes de talent qui, individuellement, n’avaient pas besoin des quatre autres pour publier des livres à succès et qui ont, malgré tout, joué le jeu de la collaboration, par jeu, parce qu’ils étaient humoristes. Le boulot pour un humoriste, c’est d’humourer... ou d’humourister, je ne sais plus bien comment il faut le dire. Et nos cinq bonshommes ne s’en sont pas privés. Je m’empresse maintenant de les nommer, avant que Type ramène sa fraise ou son col Claudine. Dans l’ordre alphabétique, il s’agit de : George Auriol, Tristan Bernard, Georges Courteline, Jules Renard et Pierre Veber.

X-img.jpg

Deux d’entre eux sont des auteurs Fornax (ce qui prouve qu’on a du goût, ici), Jules Renard par deux fois, voici un certain temps, et George Auriol plus récemment (on a le droit de consulter le catalogue auteurs de ce site, pour vérifier ou se renseigner).

Avant d’être publié une première fois en volume chez Flammarion en 1927 (c’est cette édition qui fait l’objet de ce billet), puis une seconde fois au Mercure de France en 2018, X avait été publié sous forme de feuilleton dans le quotidien Gil Blas, en trente épisodes, entre le 4 avril et le 21 mai 1895. Campagne publicitaire oblige pour attirer le lecteur, il fut annoncé, irrégulièrement, à la une du journal, depuis le 1er avril, ce qui, pour une manière de plaisanterie, était de bon augure.

Comment l’écriture de cette fantaisie fut elle organisée ? Laissons nos auteurs nous l’expliquer :

Il fut convenu que l’on tirerait au sort les noms des cinq auteurs, afin d’établir l’ordre dans lequel ils se succéderaient ; chacun devait écrire un feuilleton faisant suite à celui qui le commandait. Le premier de la liste donnerait le titre du roman et le personnage qui, seul fût invulnérable (précaution qui assurerait un semblant d’unité à l’œuvre).

Le sort établit la liste suivante :

X-PierreVeber.jpg

Pierre Veber

X-JulesRenard.jpg

Jules Renard

X-TristanBernard.jpg

Tristan Bernard

X-GeorgesCourteline.jpg

Georges Courteline

X-GeorgeAuriol.jpg

George Auriol

Le roman devait comprendre 30 à 35 feuilletons. Chaque feuilleton serait signé. Toute modification des personnages était autorisée, sauf la modification de sexe. Il était permis de tuer ceux qui déplaisaient (à l’exception de X...). Il était également permis d’en introduire d’autres, même s’ils ne prenaient aucune part à l’action. Ladite action pouvait être transportée dans toutes les parties du monde ; en pareil cas, il importe de prévenir le lecteur, qui ne se méfierait pas, par quelques phrases explicatives.

Donc, résumons nos intentions : Nous avons voulu faire du roman-feuilleton une chose purement mécanique, simplifiant la besogne par la division. En même temps, la coopération au travail, ainsi qu’aux bénéfices, éminemment socialiste, est un exemple excellent pour nos confrères. Nous espérons que notre tentative aura contribué du moins à ranimer l’esprit de corps, qui tend à disparaître de plus en plus chez les littérateurs. Il se peut que le roman ainsi composé soit d’une sottise navrante ; il se peut (et nous le souhaitons) qu’il soit, au contraire, d’une gaieté parfaite ; il aura du moins l’attrait de l’imprévu aussi bien pour nos lecteurs que pour nous-mêmes.

Cette division du travail, prônée par ce « cahier des charges » du roman est ni plus ni moins que du taylorisme avant la lettre, mais du taylorisme pris à la rigolade. À moins qu’il ne fût, puisque ce travail original et collectif se revendique socialiste, du pré-stakanovisme. Cette division du travail entre nos cinq auteurs peut aussi être vue comme une contrainte, celle de prendre pour acquis le travail d’écriture précédent et de bâtir, à partir de lui, une suite plus ou moins (plutôt moins que plus) cohérente. Il faudrait alors voir cette tentative comme un travail oulipien avant la lettre (et tout ce qui vient avant la lettre, nourriture première du littérateur, peut être considéré par lui comme un voyage dans l’inconnu, un inconnu pré-embryonnaire), ou, pour employer le vocabulaire des oulipiens, un plagiat par anticipation.

En dehors de toute considération d’écriture et de protocole qui lui est lié, on peut légitimement se poser la question : Pourquoi ce très long temps de latence entre la publication en feuilleton et celle en volume ? Trente-deux ans. La réponse est : Nous ne savons pas. Avec un « nous » qui se veut être un nous de modestie et qui peut se traduire plus crûment par : Je ne sais pas.

Que dire de plus. Que le livre possède une couverture illustrée représentant une main largement ouverte dont l’extrémité des phalanges de chaque doigt est remplacée par le portrait d’un des cinq auteurs. Cette illustration, en noir uniquement, était déjà présente dans le Gil Blas, en tête de chaque épisode. Que chaque auteur a vu son portrait en pied réalisé par Jean Veber (le frère de Pierre) pour illustrer la présentation de chaque auteur qui suit l’avant-propos et qui précède le roman. Nous avons choisi de placer ces portraits pour illustrer le tirage au sort.

On pourrait en dire plus pour compléter ce billet déjà bien copieux. Par exemple parler des prédécesseurs et des successeurs dans ce procédé d’écriture multi-têtes. Ce sera pour une autre fois, peut-être demain, qui sait. Ce qui ferait un feuilleton...

Published on 29/05/2025 @ 23:28  - none comment - none comment - View ? Add yours ?   Preview   Print...   Top
Supposition  -  by cls

Juste comme ça...

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Une supposition... rien qu'une simple supposition. Une supposition un peu bête, allez, n'hésitons pas sur les mots, une supposition franchement folle, irréaliste, contre toute logique, totalement incongrue... une supposition qui prête à rire l'esprit lucide et éclairé, qui provoque le ricanement hoqueteux du bipède civilisé, persuadé, comme au jugement dernier, de sa parfaite innocence, et de la grandeur de son intelligence, et de l'innocuité de ses actes, et de la parfaite rectitude mentale de l'enchaînement de ses pensées et de ce qui en découle...

Une minuscule supposition, rien que pour plaisanter, toute petite, toute petite :

... Et si, malgré tout, le monde était toujours beau !

Published on 28/05/2025 @ 11:25  - none comment - none comment - View ? Add yours ?   Preview   Print...   Top
Cocktail  -  by cls

Calembour involontaire ?

Cocktail.jpg

Hé, Molotov ! où est ta bouteille, où est ton chiffon, où est ton essence ? Où sont tes décisions coup de marteau prises avec le collègue Joseph contre ton peuple paysan qualifié d’ennemi du peuple ? As-tu appris que les camarades Chinois, au même titre que les Américains ennemis, se sont mis à la production de masse et au commerce international ? Que la communication de fausses nouvelles est devenu un sport international de haut niveau, à la portée de tous ? Que des petits outils pas plus grands que des carnets de notes en sont les vecteurs incontournables ? Et que, ô ironie, leur protection contre les chutes malencontreuses, permet un facile calembour avec l’outil de révolte auquel on a associé ton nom... par dérision.

Published on 27/05/2025 @ 09:09  - none comment - none comment - View ? Add yours ?   Preview   Print...   Top
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